Feliz Pascua mais nous pensons surtout à nos amis qui souffrent d'une manière ou d'une autre
Nous sommes tranquillement au départ du Lakes sympathisant avec nos partenaires du jour, deux jeunes Suédois de 20 ans qui regagneront leur pays et les 4° samedi. Soudain, une furie espagnole, accompagnée de ses deux filles, fit son apparition, elle veut et va partir tout de suite, le starter, un migrant argentin, ne veut pas perdre sa carte de séjour, téléphone à son supérieur. Le mari (de la furie), plus grand et plus con, gesticule comme un matador qui va se faire encorner et pour cause, il vient d’abîmer un lampadaire sur le parking. Membres du club, ils se croient tout permis. Le starter s’excuse auprès de nous, car nous allons partir avec 10 minutes de retard.Premier drive à 280 mètres, l’handicap de zéro affiché est justifié. Mon assistante, en souriant me dit, « si tu veux un dessert ce soir, faudra t’accrocher ». Je sors mon plus beau jeu pour afficher +4 sur l’aller, mes adversaires du jour +1 et +2.Au trou n° 13, un par 4 de 310 m, Mickaël (pas le nôtre), drive le green en 1, impressionnant ! Au trou n° 18, un par 5 de 495 m, drive et fer 4 avec un putt de 4m pour l’eagle, le birdie suffira.Les regardant trop jouer, mon jeu s’est effiloché, je termine avec un joli 84, tandis que Mickaël et Jonathan ont joué +3 et +7, quelle leçon ! Germanix
La stagiaire : il a abîmé en même temps l’aile de sa BMW, le mari de la furie! Je voudrais préciser qu’au trou n° 9 nous avons fait tous les 4 bogey… et que j’ai fait birdie au 17 comme Jonathan, tout ça va bien changer ma vie à présent !!! Ceci dit, c’est la première fois que je jouais avec de si bons joueurs et les balles allaient si vite et si loin que je ne les voyais jamais tomber !! Je vous joins des photos du jour et de l'appartement que nous occupons cette fois-ci à 800 m du centre ville.